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Le parcours inspirant de Julien dans l'arbitrage Amazon


Aujourd'hui, on vous emmène dans les coulisses d'un parcours entrepreneurial qui force le respect. Julien, un vendeur Amazon comme beaucoup d'autres au départ, a réussi en seulement quelques mois à atteindre des chiffres impressionnants. Comment a-t-il fait ? Quels ont été ses obstacles, ses choix, ses stratégies ? On vous raconte tout.


Décembre 2024 : une résolution, un déclic

Julien décide de clore son année 2024 par une prise de décision forte : il achète une formation Amazon le 31 décembre. Objectif : faire de 2025 l'année du changement. Le 1er janvier, il se lance dans l'arbitrage Amazon. Pas sur un coup de tête, mais avec des réflexions solides, une envie de faire du volume et surtout de bâtir quelque chose de concret.


Un passé déjà tourné vers le e-commerce

Avant Amazon, Julien avait une micro-entreprise dans l'accessoire auto. Il vendait déjà sur d'autres plateformes, moins puissantes qu'Amazon. Cette expérience lui a permis d'avoir les bons réflexes : connaissance du e-commerce, gestion de stock, rapport client. Autant de compétences qu'il a transférées sur Amazon.


Des chiffres qui parlent

  • 600 ventes par mois
  • Environ 20 000 € de chiffre d'affaires mensuel
  • 4 000 à 5 000 € de bénéfices net mensuels

Et tout cela en partant avec un capital de 10 000 €. Une somme non négligeable, mais qui, bien gérée, lui a permis de créer un effet boule de neige puissant.


Le déclic : former les bases solides

Julien ne s'est pas lancé tête baissée. Il a d'abord pris le temps de se former, de comprendre les marges, les frais Amazon, les statuts juridiques, les erreurs à éviter. Sa force : une grande prudence au départ, compensée ensuite par une montée en puissance très rapide.


Le secret ? Pas de secret

Julien le dit lui-même : il n'y a pas de recette magique. Mais il y a des ingrédients indispensables :

  • Ne pas compter ses heures
  • Être multitâche
  • Bien s'entourer
  • Ne pas dépenser pour dépenser
  • Savoir analyser en profondeur

Son plus grand challenge ? Apprendre à analyser un produit de A à Z. Comprendre qu'un produit acheté trois fois moins cher qu'Amazon ne veut pas forcément dire qu'il est rentable. Intégrer les frais, les taxes, les marges réelles.


95% de sourcing physique

Contrairement à d'autres qui se tournent très vite vers le sourcing online, Julien mise tout (ou presque) sur le physique. Il développe un réseau local, construit des relations humaines avec les magasins, négocie, revient. Son rayon ? Environ 100 km autour de chez lui.


L'avenir : online, SASU, volume

Le prochain virage pour Julien : changer de statut pour passer en SASU, structurer davantage son activité, et se lancer sérieusement dans le sourcing online. Il sait qu'il peut encore scaler à un autre niveau, et compte bien profiter de tout l'accompagnement reçu pour y arriver.


Le soutien moral et familial

Derrière tout entrepreneur, il y a souvent un entourage. Sa compagne le soutient moralement, et Julien espère la faire rentrer progressivement dans le business. Objectif ? Créer un projet de vie, acheter une maison, fonder une famille.


Anecdotes, erreurs de prix et cracheur de feu

Julien, c'est aussi un passé atypique : ancien barman cracheur de feu, organisateur de soirées barrées, showman devenu businessman. Des anecdotes savoureuses qui montrent qu'avant de réussir sur Amazon, il faut surtout oser essayer.

Et des astuces en or, comme repérer les erreurs de prix en magasin ou sur les drives, qui deviennent de véritables pépites une fois listées sur Amazon.


Le mot de la fin : « Ne rien regretter »

Si Julien avait un seul conseil à donner ? Ne pas vivre avec des regrets. Tenter. Se former. S'entourer. Et avancer.

Parce que l'arbitrage Amazon n'est pas une martingale, mais un vrai business, qui demande de la stratégie, de la rigueur, de l'envie. Et Julien en est aujourd'hui un exemple très concret.

« Travailler plus que les autres, c'est ce qui fait toute la différence. »

Et vous, vous commencez quand ?



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